Il expose au Salon des Artistes Français au Grand Palais des Champs Elysées

1906 :     « le Thé »                               
Sa sœur Charlotte lui sert de modèle pour le visage, et sa mère pour le costume.
Il obtint pour cette œuvre la mention ‘honorable’

    Il expose cette année là également au Salon d’Automne :
    « La songeuse » (n°490)
    « Dinde de noël » (n°491)

 

 

 

1908 :     « Portrait de mon père »  (sous le n°568)

1910 :     « Jeune femme en vert »                      
    « Mon grand père et ma grand-mère »

 

 

 

 

1911 : « l’Arcadie »        Panneau décoratif commandé par l’état	« La danseuse »        Représente la danseuse Gina Maletti sur scène.

    

1912 : « La robe jonquille »                       
           Le modèle n’est autre que la future chanteuse Lucienne Boyer,
           représentée très jeune devant un bassin du parc de Versailles.
           « Portrait de Monsieur Théodore Avonde »

 

 

 

1913 : « La leçon d’amour dans un parc »               
                                   
Ce tableau est reproduit sur la couverture de ‘l’Illustration’ consacré au Salon, c’est dire s’il a été remarqué : notons que la femme souriante qui s’est assise sur une balustrade du parc de Versailles  a déjà plein de charme…
    « Portrait de S.A la Princesse Lucien Murat »

 

 

1914 : « la grenouille ou la coiffure interrompue »              « Le pont d’Alcantara »	1920 : «  la douce illusion » 1921 : au Salon d’automne, il expose en qualité d’illustrateur dans la section ‘livre’
1922 : « Dans l’ombre d’une jeune fille en fleur »	1922 : « la dame à la rose »
1923 : « Madame Jenny S... »	1925 : Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes de Bordeaux

 

J G Domergue exécuta le plafond de la tour de Bordeaux   

 « Je me suis efforcé de chanter Bordeaux, patrie des cognacs et des vins ; Bordeaux grand port ouvert sur nos colonies et Bordeaux antichambre des forêts de pins et de plages basques. Parmi les vapeurs d’alcool que répandent les alambics, une femme distille le jus de raisin, tandis que ses compagnons s’ingénient à créer de nouveaux et précieux mélanges pour notre palais de gourmet. La caoutchouc, l’ivoire et les fruits exotiques, tels sont les produits que les créoles et les nègres affublés d’oripeaux éclatants, étalent sous nos yeux grace au paquebot cravaté de fumée que l’on découvre au loin.Aves ses quais gris mauves, comme le ciel, son port couleur de rouille et les grappes lourdes du raisin que supportent des mains de femmes, ainsi m’est apparu Bordeaux, capitale des vins »

 

1933 : Salon de la société Nationale des Beaux Arts : « Diane »	1936 : 2 œuvres représentant « Joséphine Baker »

 

Sa carte d’exposant

L’étranger le réclame aussi. Il expose entre autres à la Royal Academy de Londres et au Carnegie Institute de Pittsburg d’une façon régulière. En 1955, il expose pour la première fois à Montréal